D se sentit perdu,Nu aux mains de ses bourreaux, Il expulsa le bouchon anal,tant la douleur était forte sous l'action des épices exotiques, « le porc,dit l'Inquisiteur,tu vas regretter ça », J arriva en sifflotant,se plaça au dessus de lui,lui enleva baillon et bandeau, et largua un étron majestueux et le barbouilla,,elle se fit faire un lavement,qu »elle contint le plus possible,et lui déchargea à nouveau dessus,Il fut ensuite trainé,et reçu une douche glacée,un temps interminable,la poire d'angoisse fut otée de la bouche,et introduite dans le conduit anal,après que le bourreau ait pris soin d'y introduire un bon volume de piment frais. D ,cette fois,ne pensa plus à rien,rien.Il essayait d'oublier,sans y parvenir,cette douleur,raffinement inventée par la généreuse inquisition.Que ne ferait-t-elle pas pour sauver l'ame des pecheurs! On lui enfila un masque sur le visage,dont les effets furent qu'il n'entendit plus rien,ne voyait plus rien;il ne pouvait plus bouger;isolation sensorielle totale,ou presque,car le bourreau avait une idée derrière la tete,approuvée avec beaucoup de plaisir par M P,le grand Inquisiteur.Mais il avait d'abord décidé de laisser le supplicié sans manger 1 jour,ni boire car il lui avait fait ingurgiter auparavant beaucoup d'eau(mais il pensait déjà au supplice de l'eau),Et le bourreau était en surveillance,à sa façon. Privé de ses sens,D ne sentait que la douleur,partout,mais surtout sur son sexe,travaillé par les pinces et la canne.